Rachid en a fait tout un fromage
Après avoir appris le métier en Suisse, Rachid Ibersiene est revenu au pays pour produire du vacherin fribourgeois algérien. Reportage dans la fromagerie où il fabrique son Tamgout de Tamassit, en Kabylie.
Après avoir appris le métier en Suisse, Rachid Ibersiene est revenu au pays pour produire du vacherin fribourgeois algérien. Reportage dans la fromagerie où il fabrique son Tamgout de Tamassit, en Kabylie.
La Djoda, foire au bétail organisée par la confédération des éleveurs de bétail du Cameroun, s’est tenue du 12 au 14 décembre. Le Gabon, le Tchad et la République centrafricaine y participaient.
Augmentation du prix, modernisation du verger, lancement du label, émergence de la demande locale : la Côte d’Ivoire relance les chevaux pour conforter sa place de numéro un mondial du cacao. Reportage.
C’est le directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde (CCA) qui le dit : « En 2015, la Côte d’Ivoire est devenue le premier producteur mondial d’anacardes avec 700 000 tonnes ». Reste que, sur cette production, une faible partie – environ 50 000 tonnes – est transformée localement.
Selon le département de l’Agriculture des États-Unis, la production mondiale de riz 2016 afficherait un « record historique » à 481 millions de tonnes (Lettre Afdi 570). L’Afrique subsaharienne atteindrait, elle, son record continental avec une production de 15,4 millions de tonnes...
Un programme a été adopté en février 2016 pour développer une filière « en danger ». Les premiers résultats semblent prometteurs. Mais la filière est encore loin d’avoir pris un réel envol. En Algérie, la filière avicole compte quelque 100 000 emplois permanents et 300 000 emplois indirects...
Du Maroc à l’Égypte, les achats de viande, de bovins vivants et de poudre de lait régressent. L’Union européenne est pénalisée, mais la Nouvelle-Zélande en tire un certain profit.
La chute des prix de l’or noir met le Nigeria dans une situation difficile. Résultat, le pays le plus peuplé d’Afrique se tourne vers la production de cacao pour combler le déficit.
Deuxième production vivrière de Côte d’Ivoire, et féculent de base pour les habitants, le manioc fait aujourd’hui les frais de l’engouement des agriculteurs pour l’hévéaculture. Déjà pointée du doigt en 2013, cette situation peut influer sur la sécurité alimentaire du pays.
Chaque soir, dans plusieurs coins de rue des villes de l’est de la République démocratique du Congo (Butembo, Beni, Bukavu, Bunia…) des grilleurs de maïs se comptent par milliers. Les consommateurs affluent. Problème : il faut débourser entre 100 et 200 Fc (franc congolais) pour s’acheter un épi grillé...